Les deux premières semaines, tout allait bien. J'aidais maman et elle me disait merci. Enfin bref, elle faisait attention a moi. Pas comme maintenant ou tout n'ai plus comme avant. Avant, maman et moi on allait a la foret et on cueillait des champignons ou on allait se baigner en attendant que papa revienne d'une réunion avec le ministre des elfes. C'était le parardis.

Mais vient le jour ou papa du nous laisser. Alors, tous changea. Maman avait tout le temps de ronds noirs sous les yeux et sois elle pleurait ou sinon et me hurlait dessus. Tout le monde était triste dans le royaume. Même les triplets qui avaient seulement 3 mois avaient l'air de comprendre. Si seulement je pouvais aller dans le passé et revivre ses moments précieux avec maman et papa...

Aujourd'hui, on a reçu une lettre de pap. Son téléphone était cassé et son chef ne lui permettait plus de nous appeler, de peur qu'il trahissent l'armée. Oui, tu as bien entendu. Papa est parti en guerre il y a quelques mois maintenant. Des larmes coulent sur mes joues pendant que j'écris ceci. J'aimerais tellement le revoir.

Oh papa, que tu me manques.

J'ouvris l'enveloppe de mains tremblantes et je lu sur une feuille de papier tachetée de boue l'écriture si stable de mon papa adoré:

Mes chers enfants,

Je m'excuse de ne pas vous avoir écrits plus tôt. La caffandre (le nom du chef de l'armée enemie) ne veut pas abandoner. Je ne sais pas quand je vais pouvoir revenir à la maison. Je pense a vous toutes les secondes de la journée. Je vous aime.

Neige, ce message est que pour toi et ta mère. La véritée c' est que on est prisoniers dans les caves ennemies. Ils ne voudront pas nous laisser partir que si on leur livre des informations secrètes du service, mais même la c'est pas garantis qu'ils nous laisseraient partir.

Je prie vous revoir un jour. Mon coeur souffre de tristesse et je ne sais pas si je peux vivre sans vous un mois de plus.

Je vous jure que je ferai de mon maximum pour nous délivrer.

Je vous aime de tous mon coeur,

Votre papa qui ne cesse de penser à vous.

P.S: Si je ne reviens pas, dites aux triplets que... Je suis partis sur une île lointaine. Mais j'epère que ce ne serai jamais la cas.

Je regardais la lettre entre mes mains que mon père avait du aussi tenir en pensant à nous, peut-être même à moi... Je m'allongeais sur mon lit et je pleurais pendant longtemps jusqu'à ce que mes larmes me bercèrent jusqu'à ce que je m'endorme.